Pendant le reste du trek, les bagages étaient transportés en charrettes tirées par des boeufs ou des ânes. Mais pour cette étape, en l’absence de piste, c’est à dos – enfin, à tête – d’homme qu’ils seront transporté. Chacun portant deux sacs, on comprend mieux pourquoi il nous avait été demandé d’en limiter le poids à 16 kg ; et on a un peu honte, aussi, d’avoir peut-être apporté un peu plus que l’indispensable …