Après quelques heures de marche sur la falaise, nous descendons vers la plaine et atteignons notre premier village dogon : Tiogou. A l’entrée du village, les femmes s’affairent sous le baobab multi-centenaire à l’écorce caractéristique : elle est en effet découpée en lanières pour fabriquer des cordes, ce qui explique ces grosses cicatrices.