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Yendouma Sogol (Mali)
Corvée d’eau pour les femmes du village.
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Yendouma Sogol (Mali)
On quitte le village au milieu des champs de maïs.
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Yendouma Sogol (Mali)
Six heures du matin, tout le monde est déjà en train de boucler les sacs dans notre hôtel aux multiples étoiles.
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Yendouma Sogol (Mali)
Une petite sieste sur un toit « une place » !
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Yendouma Sogol (Mali)
Depuis la falaise, vue plongeante sur les toits des cases.
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Pays dogon (Mali)
Sur les toits-terrasses, les épis de mil sèchent en attendant d’être stockés dans les greniers à toits pointus.
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Pays dogon (Mali)
Malgré les distances souvent élevées pour se rendre à l’école à pied et les classes surchargées, l’absentéisme est très faible.
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Pays dogon (Mali)
Le crocodile, animal sacré, est très souvent représenté dans l’architecture et l’artisanat dogon.
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Pays dogon (Mali)
Autre élément essentiel du village dogon, la toguna, ou case à palabres. Lieu central du village, elle est construite de telle manière qu’on ne puisse s’y tenir debout : ainsi, impossible de s’emporter lorsqu’on y débat des problèmes du village ou lorsqu’on y rend la justice coutumière !
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Pays dogon (Mali)
Dans la plupart des villages dogons, du moins ceux qui sont construits en pied de falaise, on trouve une mare plus ou moins grande, envahie de lentilles d’eau. Certaines d’entre elles sont habitées par des crocodiles, qui est un animal sacré de la cosmogonie dogon.
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Tiogou (Mali)
Autre objet typique de l’architecture du pays dogon, ces échelles taillées dans un tronc d’arbre permettent d’accéder aux toitures-terrasses … à condition d’avoir un bon sens de l’équilibre ! Mais comme nous allons passer toutes nos nuits sur ces toits, il faudra bien que nous les empruntions !
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Tiogou (Mali)
Autre image classique du pays dogon, les superbes portes et fenêtres sculptées.
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Tiogou (Mali)
Et c’est notre première rencontre avec ces cases au toit de paille, tellement représentatives du pays dogon !
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Tiogou (Mali)
Après quelques heures de marche sur la falaise, nous descendons vers la plaine et atteignons notre premier village dogon : Tiogou. A l’entrée du village, les femmes s’affairent sous le baobab multi-centenaire à l’écorce caractéristique : elle est en effet découpée en lanières pour fabriquer des cordes, ce qui explique ces grosses cicatrices.
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Sangha (Mali)
Au pays dogon, la culture de l’oignon est essentielle à l’économie. Elle représente jusqu’à 90% de la surface maraîchère : le pays dogon est le premier producteur d’oignons de toute l’Afrique, et exporte sa production sur tout le continent. Yann Arthus-Bertrand a consacré un reportage à la culture de l’oignon au pays dogon :
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Sangha (Mali)
Sangha est construit au bord de la falaise de Bandiagara, cette immense falaise de 200 kilomètres de long qui mesure entre 100 et 300 mètres de haut et le long de laquelle sont installés les villages dogons. La falaise est inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1989. Au pied de la falaise, une retenue…
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Sangha (Mali)
Les enfants du village sont déjà levés aussi, sans doute prêts pour partir à l’école, et viennent nous tenir compagnie pour le petit déjeuner !
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Sangha (Mali)
Nous sommes arrivés au village bien après la tombée de la nuit, la veille au soir, et nous n’en avons rien vu. Aussi dès les premiers rayons du soleil, bien que la table du petit déjeuner semble très accueillante, chacun s’empresse de découvrir le paysage de notre premier contact avec le pays dogon.
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Djenné (Mali)
La visite de Djenné est terminée. Le minibus est chargé, nous attendons le bac qui va nous faire traverser le Bani ; ensuite, une bonne demi-journée de route puis de piste pour rejoindre la falaise de Bandiagara, au coeur du pays Dogon …