Une nuée d’oiseaux, impossibles à identifier à cette distance, vient soudain se poser sur le lac.
Grand Lac Salé (Utah – USA)
Le Grand Lac Salé s’étend sur 4400 km² ; il est peu profond et fortement salé (4 à 8 fois plus que l’océan). La salinité du lac écarte de nombreuses espèces animales et végétales, mais les zones humides des rivages nord et est abritent d’importants groupes d’oiseaux ; quant à Antelope Island, qui est la plus grande île du lac, elle est un parc d’Etat et abrite 600 bisons, des mouflons, des pronghorns (espèce d’antilope endémique de l’Amérique du nord) et des coyotes.
Grand Lac Salé (Utah – USA)
Bien sûr, pour un tel périple, il nous fallait de belles américaines ! C’est d’ailleurs pour les récupérer que nous avions patienté aussi longtemps la veille au soir à l’aéroport …
Mais hélas, l’industrie automobile américaine n’est plus ce qu’elle était ! Voilà donc nos deux Toyota Avalon au bord du grand lac salé, sur la route-digue de 11 kilomètres qui mène à Antelope island.
Salt Lake City (Utah – USA)
- Vous êtes prêts à nous suivre dans ce long périple dans l’ouest des Etats-Unis?
Vous avez l’estomac bien accroché?
Parce que dès le premier matin, après une nuit un peu courte et un jet-lag prononcé, voilà ce qui nous était proposé pour le petit déj …
Heureusement, nous ne sommes pas venus là pour la gastronomie ! Bienvenue aux States !
Salt Lake City (Utah – USA)
Enfin arrivés à destination ! A la fin d’une journée rallongée de 8 heures, le soleil se couche sur le grand lac salé. Mais il nous reste encore à récupérer les bagages, faire une longue queue pour obtenir notre voiture de location (pourquoi est-ce que tout le monde a jeté son dévolu sur le même loueur ?), puis trouver notre hôtel. Et après l’hôtel, comme la nourriture dans l’avion a été pour le moins frugale, nous allons tenter de trouver quelque chose à manger …. Mais vous aurez plus de détails dans le carnet de voyage dès qu’il sera mis en ligne !
New York (USA)
L’escale new-yorkaise se termine, nous repartons vers Salt Lake City.
Malheureusement, nous ne sommes pas les seuls à vouloir quitter New-York en ce vendredi soir ; il nous a fallu près d’une heure entre l’autorisation de quitter le terminal et le décollage, et nous sommes loin d’être les derniers : la file d’attente est impressionnante derrière notre avion.
New York (USA)

Après quelques heures de vol, nous voilà en courte finale sur l’aéroport John F. Kennedy de New York. Jamaïca Bay, à quelques centaines de mètres des pistes, est une zone naturelle de marais salants, dans laquelle l’agglomération de Broad Channel entasse ses maisons avec ponton au fond du jardin.