
Tiogou (Mali)

Après quelques heures de marche sur la falaise, nous descendons vers la plaine et atteignons notre premier village dogon : Tiogou. A l’entrée du village, les femmes s’affairent sous le baobab multi-centenaire à l’écorce caractéristique : elle est en effet découpée en lanières pour fabriquer des cordes, ce qui explique ces grosses cicatrices.
Sangha (Mali)

Au pays dogon, la culture de l’oignon est essentielle à l’économie. Elle représente jusqu’à 90% de la surface maraîchère : le pays dogon est le premier producteur d’oignons de toute l’Afrique, et exporte sa production sur tout le continent.
Yann Arthus-Bertrand a consacré un reportage à la culture de l’oignon au pays dogon :
Sangha (Mali)

Sangha est construit au bord de la falaise de Bandiagara, cette immense falaise de 200 kilomètres de long qui mesure entre 100 et 300 mètres de haut et le long de laquelle sont installés les villages dogons. La falaise est inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1989.
Au pied de la falaise, une retenue d’eau permet d’irriguer les cultures des villageois.
Au pied de la falaise, une retenue d’eau permet d’irriguer les cultures des villageois.
Sangha (Mali)

Nous sommes arrivés au village bien après la tombée de la nuit, la veille au soir, et nous n’en avons rien vu. Aussi dès les premiers rayons du soleil, bien que la table du petit déjeuner semble très accueillante, chacun s’empresse de découvrir le paysage de notre premier contact avec le pays dogon.







































